Avec les « classes puzzles », favoriser la coopération entre élèves (The Conversation)
Le travail en groupe ou « apprentissage coopératif » est souvent utilisé en éducation, que ce soit à l’école, au collège, au lycée ou à l’université. En 2018, une enquête de l’Organisation de coopération et de développement économique (OCDE) sur les pratiques éducatives a mis en évidence que près d’un enseignant français sur deux, sur 1400 personnes interrogées, s’appuyait sur des travaux en petits groupes au sein de leur classe.
S’ils considèrent généralement la coopération comme utile, notamment pour promouvoir l’empathie, l’esprit critique ou encore la motivation des élèves, enseignants et enseignantes ne vivent pas toujours positivement la mise en place de ces expériences.
Comment identifier les difficultés liées au travail en groupe ?
Comment y remédier ?
Comment mettre en place des apprentissages coopératifs sources de bien-être scolaire et d’évolution positive pour tous les acteurs ?
Cet article de The Conversation s’attèle à la question.
Auteurs :
– Arnaud Stanczak, Doctorant en psychologie sociale, Université Clermont Auvergne (UCA)
– Anaïs Robert, Doctorante en Psychologie Sociale, Université Clermont Auvergne (UCA)
– Michael Dambrun, Enseignant-chercheur, Université Clermont Auvergne (UCA)